Véritable évènement pour tous les fans de Marvel, Shang-Chi et la Légende des Dix Anneaux est à découvrir dès ce 1er septembre au cinéma. 25e film du MCU et 2e de la phase 4, le long-métrage marque un grand tournant pour les studios. La preuve par 5.
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UNE ORIGIN-STORY SOMBRE ET ÉMOUVANTE
Bien moins connue que de nombreuses autres issues des comics Marvel, l’histoire de Shang-Chi n’en est pas moins riche, profonde et émouvante. Rongé par la disparition de sa mère et par l'absence d'un père endeuillé et transformé en maître de guerre, le héros décide de laisser cet environnement dysfonctionnel derrière lui, abandonnant dans le même temps une petite sœur qui aura bien du mal à étouffer sa colère.
Menant désormais une vie on ne peut plus banale à San Francisco, sous le nom de Shaun, en compagnie de sa drôlissime et géniale meilleure amie Katy (Awkwafina), ce jeune homme au cœur pur est rattrapé par son passé. Confronté à nouveau aux blessures de cet héritage familial qu’il a tenté de dissimuler toute sa vie, il doit faire face à un père devenu un ennemi, brisé par la vie et gangréné par la peine.
Au cœur de Shang-Chi et la Légende des Dix Anneaux, réalisé par Destin Daniel Cretton, ces enjeux personnels d’une rare envergure dramatique résonneront de manière assez inédite chez les fans du MCU.
DES SCÈNES DE COMBAT ÉLEVÉES AU RANG D’ART (MARTIAL)
S’il est bien un domaine dans lequel le Marvel Cinematic Universe s’est imposé depuis la sortie d’Iron Man en 2008, c’est l’action. Cascades, courses poursuites, explosions : voilà 24 films que le public vibre face aux aventures des héros du studio.
Mais avec ce 25e long-métrage, Marvel Studio écrit une nouvelle page de son livre en dévoilant des scènes de combat à couper le souffle. Epaulée par le chorégraphe de combats Andy Cheng, connu notamment pour être la dernière doublure de Jackie Chan (rien que ça !), l’équipe de Shang-Chi et la Légende des Dix Anneaux offre des séquences de combat d’une rare beauté.
D’une scène épique dans un bus à des duels au sommet entre Shang-Chi (Simu Liu) et son père Wenwu (Tony Leung Chiu-wai) en passant par les remarquables leçons promulguées par Jiang Nan (Michelle Yeoh) : différents styles d'arts martiaux se déploient face à nous tels que le kung-fu, le tai-chi ou le wing chun… et on en prend plein les yeux !
Des arts martiaux présents jusqu’à la toute fin du film, puisque les crédits de ce dernier rendent un joli hommage à Brad Allen, leader de l’équipe des cascadeurs de Jackie Chan, décédé le 7 août dernier.
L'ESTHÉTIQUE ASIATIQUE
Tout premier film Marvel ayant un héros d’origine asiatique, Shang-Chi et la Légende des Dix Anneaux marque donc à lui seul un renouveau dans l’histoire des studios. Ainsi, ce deuxième film de la phase 4 alterne adroitement les scènes parlées en mandarin à celles en prononcées en anglais, et est baigné dans une toute nouvelle esthétique.
Nous voilà propulsés sur le sommet d’une tour à Macao, ou au cœur d’un merveilleux village luxuriant entre forêt et cascades, à la rencontre d’armées. Sur le tournage, celles-ci étaient supervisées par des experts du monde entier comme des cavaliers et des archers d’élite de Mongolie et des artistes du mouvement et des experts du parkour venus des Etats-Unis, d’Australie et du Canada.
Outre les fameux dix anneaux, on découvre des armes comme de grands bâtons de combat appelés bō, des arcs et des flèches, des lames tels que des crochets du Tigre, ou de longues cordes équipées aux extrémités d'une fléchette métallique et baptisées rope dart.
Quant au costume de Shang-Shi, il a tout simplement été créé à partir du ventre d’un dragon, pour symboliser la mutation du héros. “C’était très émouvant de l’essayer pour la première fois. J’ai compris la gravité et le poids de tout ce qu’il représente, j’ai réalisé à quel point il est rare d’éprouver un sentiment de cette sorte”, explique Simu Liu.
UN UNIVERS FANTASTIQUE INÉDIT
Si Doctor Strange avait su faire dans l’inédit avec son mysticisme et ses dimensions alternatives, Shang-Chi et la Légende des Dix Anneaux marque lui aussi un véritable tournant, cette fois-ci grâce à de nouveaux codes fantastiques.
Puisant encore et toujours son inspiration dans l’univers asiatique, le film compte sur des créatures extraordinaires telles que des dragons ou de merveilleux tigres (pour ne citer qu’eux) et se base sur une magie liée aux âmes, à l’esprit et à la nature. Ceux qui pensaient avoir tout vu en 24 films ne sont donc pas au bout de leurs surprises !
UNE BO QUI CRÉE L'ÉVÉNEMENT
Qui dit nouveau film Marvel dit forcément sortie très attendue. Mais le moins que l’on puisse dire, c’est que les studios ont réussi à accentuer l’évènement grâce à des teasers à la hauteur des attentes, rythmés par une BO qui a de quoi combler toutes les oreilles.
Et pour cause, c’est à DJ Snake qu’a été confiée la création de Run It, le titre phare de la bande-originale du film. Pour donner naissance à ce morceau mariant le rap et l'électro à des sonorités épiques propres au MCU, le célébrissime DJ français s’est entouré des pointures que sont Rick Ross et Rich Brian.
Le thème principal a quant à lui été créé par Jackson Wang, rappeur et chanteur membre du boys band sud-coréen Got7, qui signe ici une musique mêlant avec brio le hip hop aux sonorités asiatiques. Sans oublier la K-Pop présente tout au long du film, dont un morceau signé Mark Tuan de Got7 avec un featuring de la révélation Bibi.
Que ce soit pour son noyau dramatique ou ses personnages attachants, son humour justement dosé, son action remarquable et ses combats de haute volée, pour sa photographie nouvelle comme pour sa musique : Shang-Chi et la Légende des Dix Anneaux s’impose comme le signe d’une nouvelle ère pour le MCU. Du renouveau dans tous les sens, à découvrir dès ce 1er septembre au cinéma !
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